FAQ
des réponses à vos questions
Non. Il ne s’agit plus d’un domaine skiable mais d’un hébergement touristique de type resort au sein de laquelle il est possible de pratiquer le ski sur des itinéraires balisés et sécurisés mais non damés. Il s’agit d’un nouveau modèle d’exploitation qui limite l’accès au domaine du Lodge 2800 à 50 personnes par jour afin de garantir une expérience unique.
Une exploitation traditionnelle n’est pas rentable. C’est pourquoi ce nouveau modèle a été développé. Cependant chacun sera libre de se rendre au col de Menouve et dans le secteur par ses propres moyens, en empruntant par exemple les itinéraires de randonnée à disposition. La montagne ne sera en aucun cas privatisée.
Non. A l’heure actuelle, aucune autorisation n’a été délivrée. Cependant, les démarches sont en cours avec la commune de Bourg-Saint-Pierre, les services du développement économique et du développement territorial de l’état du Valais et l’office fédéral des transports afin de réaffecter cet ancien domaine skiable existant, actuellement sous forme de friche touristique.
De plus, pour pouvoir obtenir les autorisations, il est nécessaire de réaliser diverses études (étude d’impact, étude avalanche) qui seront financées par cette première levée de fonds.
Saint-Bernard Paradise SA suit la procédure attentivement mais n’y est pas directement liée. Les différentes institutions concernées sont au courant du projet Lodge 2800, qui permettrait de régler la problématique du démantèlement des installations et de la prise en charge des frais qui en découlent.
En effet, le projet du Lodge 2800 apparait comme une solution dans ce dossier de par la réaffectation d’une partie des infrastructures existantes et le démontage puis l’évacuation des éléments obsolètes et inutilisés. Ces frais seront pris en charge lors de la construction du Lodge.
Oui. Même si l’accès au domaine pour le ski répétitif sera limité dans le nombre, un quota de montées en Lodge Lift permettant d’accéder au village d’Etroubles par la piste italienne sera mis à disposition chaque jour entre 12h et 13h afin de maintenir cette tradition. Là également, les réservations préalables seront nécessaires.
Dans une démarche proactive, les associations de défense de la nature et du paysage possédant un droit de recours ont été contactées. Des séances d’information et de discussion ont été réalisées et l’avis général est qu’il s’agit d’une réaffectation d’un site existant, équipé, possédant donc un impact neutre à limité sur l’environnement. Cependant, il est nécessaire d’intégrer le projet dans une politique de développement territorial conforme à la LAT.
De plus, de par le modèle d’exploitation proposé, la capacité de charge de l’environnement naturel est respectée, et l’espace anciennement utilisé pour la pratique du ski alpin est réduit à deux itinéraires (Menouve et piste italienne), les zones de plan du jeu et de Tscholaire étant abandonnées.
Le but des porteurs du projet est d’éviter les oppositions de principe, d’informer, de discuter et de faire évoluer le concept vers une solution qui satisfasse toutes les parties impliquées. De plus, le concept poursuit une vision durable du tourisme alpin, en opposition totale au modèle touristique basé sur la fréquentation de masse.
Le projet est devisé à 13 millions CHF. 6.5 millions pour la transformation de la gare amont la construction et l’équipement du Lodge ; 4.5 millions pour la construction du Lodge Lift et le démontage des installations obsolètes ; 2.5 millions pour des équipements divers.
La première phase de levée de fond (2017) est destinée à consolider le projet par la réalisation d’études complémentaires jusqu’à l’obtention des autorisations de construire. L’essentiel du financement se fera ensuite par une seconde levée de fond auprès d’un nombre réduit d’investisseurs privés. Des contacts sont déjà établis avec des investisseurs suisses et internationaux intéressés par ce projet unique et novateur.